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    A l'été 1987, le comedien et animateur radio, Patrick Burgel, acheta une maison a Montbazon, rue des moulins. Dés l'installation de la famille, d'etranges phenomenes commencerent de se produire. Un matin, sa mere voit, au pied de son lit, une fillette rousse au visage barbouillé de confiture. Puis c'est son epouse qui voit, dans les memes circonstances, une femme brune vêtue de noir, et portant un col "claudine". Elle a en outre, frequemment, l'impression d'une presence invisible dans la maison, tandis que flotte dans l'air un parfum de jasmin.

    Un soir au coucher, Patrick redscend pour aller chercher un livre qu'il a oublié au rez de chaussée. Il voit alors, dans la penombre, un homme portant un chapeau noir, assis sur une chaise. Ce qui frappe le plus le comedien, c'est l'infinie tristesse qui se lit dans les yeux du fantome. Il decide de mener son enquête sur le passé de cette demeure et apprend ainsi que, pendant la seconde guerre mondiale, elle etait habitée par un couple de medecins qui faisaient passer des juifs en zone libre. Les allemand l'apprirent et requisitionnerent la maison. Les fantomes etaient ils ceux d'une famille juive qui, croyant trouver son salut ici, serait tombée entre les mains des nazis ?

    Il en aura la confirmation quelques jours plus tard, en descendant explorer la cave. Là, il decouvre une vielle malette en cuir, dans laquelle se trouvent un livre de priere juif, une paire de tire ligne, un taleth et une Menora. Grace a une adresse trouvée sur une carte de visite, il parviendra ensuite a retrouver la famille proprietaire de ces objets. Le viel homme qu'il contacte lui confirme ce qu'il craignait : son neveu et sa famille etaient venus dans la maison de Montbazon, esperant ainsi pouvoir echapper a la tyrannie nazie. La suite, on la devine.

    La maison semble avoir gardé le "souvenir" des atrocités qui ont ete commises entre ses murs. Patrick Burgel finira par faire appel a un radiesthesiste pour "nettoyer" les lieux. Plusieurs mois d'effort seront necessaires, mais, un jours, alors que le comediens dejeune avec sa famille dans le parc, il voit les fantomes, l'homme, la femme et leur fille, qui s'eloignent. Ils le saluent, comme pour lui dire adieu. Depuis, la maison a retrouvé son calme. Patrick burgel a raconté son etonnante histoire dans un livre : La  Maison qui n'oublie pas.


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  • Tout commença lorsque le conseil municipal de Clermont-l'Herault decida de faire batir une maison pour y loger le concierge du cimetiere municipal. Le premier gardien n'y resta que 2 ans. Sa femme, et lui ensuite, moururent d'un cancer. Le second n'y eut pas plus de chance, il ne resta lui aussi que 2 ans ; durant cette courte periode, 4 personnes de sa famille moururent d'un cancer. Le troisieme ne fit pas exception a la regle : il mourut egalement d'un cancer a breve echeance, de meme que 2 autres membres de sa famille.

    Neufs personnes mortes d'un cancer dans la meme maison, en 6 ans, il y avait de quoi s'inquieter. Il devint alors impossible de trouver quelqu'n pour accepter le poste. En desespoir de cause, le maire de la commune fit appel a 2 radiesthesistes bien connus dans la region. Les sourciers, au terme de leurs investigations, parvinrent a determiner la source du mal. Quand la maison avait ete construite, on avait coulé une chape de beton pour fondation, qui reposait sur un ancien lit de ruisseau asseché, et on s'etait contenté de boucher les extremités sans combler la fosse.

    Selon eux, c'etait le rayonnement nocif provenant de la couche d'air ionisé enfermée sous la chape de ciment qui etait responsable de l'epidemie de cancers. Ils preconiserent de retablir la circulation d'air dans l'ancien lit du ruisseau qui passait sous la maison. Des que ce fut fait, la maison fut ainsi assainie, et plus aucun cas de cancer ne fut signalé par la suite. Il avait suffi de guerir la maison pour guerir ses habitants.


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