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    Vierge noire de rocamadour

    Pourquoi des hommes ont-ils sculté des Vierges noires ?

    D'ou provient leur vénération particuliere ?

    Plusieurs elements de reponses trouvent leur origine au Moyen Age, la Vierge etant alors considérée comme la matrice, l'athanor, alliant fecondité et fertilité : " elle est le ventre du monde et de l'univers."

    Parmi de multiples explications données au fil des siecles sur l'origine du teint fort basané, quasi noir, de la Vierge, quatre hypotheses sont retenues :

    1. Un noircissement accidentel ou délibéré : exposition dans des endroits enfumés par les bougies, les cierges, l'encens, accumulation de poussieres, alteration ou transformation du bois, construction dans une matiere noire ( ébéne, cédre, bois exotiques...) ou facile à noircir comme le poirier.
    2. Un appel au secours : au Moyen Age, la peste faisait des ravages enormes parmi les populations. Cette maladie infectieuse et extremement contagieuse donnait au malade un teint grisatre, voire noir, d'ou le terme de "peste noire". Il se dit que des artisans confectionnairent des statues de la Vierge en bois foncé pour lui rappeler le drame vécu par de nombreuses personnes et, surtout pour lui demander d'interceder en leur faveur aupres de son fils qui, affirme t on, ne peut rien lui refuser. La Vierge noire etait alors la representation symbolique d'une pestiférée. A l'interieur de la cathedrale du Puy en Velay, un tableau de Solvain datant de 1630, " voeu de la peste", evoque cette situation.
    3. Une representation ( noire comme la terre ) antique : le culte de la Terre-Mére se retrouvant dans de nombreuses déesses païennes, il n'est pas exclu qu'on le christianisa.
    4. Une origine orientale : cette explication retient davantage mon attention. Effectivement, le portrait de la mére de Jesus aurait ete tiré d'apres nature par l'evangeliste Luc. Il aurait reproduit avec exactitude le type de femmes de judée et de palestine qui, comme on le sait, ont le teint tres basané. Le "cantique des cantiques" de Salomon est precis a ce sujet. Ainsi, on lit, dans "la bergere dans la vigne", une description qui corrobore la thése de l'origine orientale de la representation de la Vierge en tant que femme noire, noire dans le sens de halée par le soleil :

    "Je suis noire, mais je suis belle, fille de Jérusalem,

    comme les tentes de Kédar,

    comme les pavillons de Salomon.

    Ne prenez pas garde a mon teint Hâlé :

    C'est le soleil qui m'a brunie. (.....)

    Representation visible d'un monde invisible, plusieurs critéres d'authenticité ont été degagés a leur encontre : ce sont des Vierges en majesté, les statues, toujours en bois, authentiques datent du Xieme (mais surtout du XII ieme) au XIII ieme siecle, la representation de la Vierge prime sur celle de Jesus, ce dernier enseigne généralement, tous les sanctuaires qui accueillent des Vierges noires sont érigés sur des lieux de cultes anterieurs au christianisme, la place originelle des statues etait dans une crypte.

    Mais, a travers le monde, des Vierges noires ne repondant pas a ces critéres rigoureux n'en connaissent pas moins une devotion assez extraordinaire. L'adage prétendant que l'habit ne fait pas le moine, est il a prendre en consideration dans ce cas d'espece ?

    Sources : pierre Guelff, France mysterieuse insolite et sacrée

     

     
    Vierge noire de Chartre

    Au Moyen Age, les rois de France accordaient une importance particulière à la Vierge. Ils vénéraient encore plus spécialement la Vierge noire.
    Les peuples d'Europe ont accordé aux Vierges noires une importance qui dépasse largement le simple respect dû à la mère du Christ. Hérité du plus lointain passé païen et ravivé malgré le christianisme, ce culte des Madones noires semble  relier à une symbolique magique étonnante.

    La Madone noire devait être à l'origine une déesse de la Fertilité, très largement antérieure au christianisme. Ces déesses étaient probablement adorées dans toute l'Europe et tout le Proche-Orient, de l'Égypte à la Perse.
    Sous des noms différents, elles incarnaient les mêmes symboles. Leur culte s'est d'ailleurs prolongé pendant des siècles

    La déesse mère est une divinité assez complexe. Elle représente à la fois le Bien et le Mal, la Création et la Destruction, la Lumière et l'Obscurité. Elle symbolisait, dès la plus haute Antiquité, les différents aspects de la nature et ses aléas : les tempêtes, les sécheresses et les famines, ainsi que les moissons abondantes et les bonnes saisons.

     

    Tantôt chaste, tantôt d'une impudeur totale, la déesse mère était la dualité même. Elle était donc souvent représentée avec un visage mi-blanc mi-noir. Ou avec des vêtements aussi bien noirs que blancs. On rapporte l'existence, dans certains lieux de culte païens ou chrétiens, de deux statues identiques, l'une noire, l'autre blanche.

     

    L'ancienne déesse mère était souvent associée à la Lune. Comme la Lune influence les marées, elle était donc liée à la mer et elle protégeait les marins, qui l'appelaient Stella Maris (Étoile de la Mer). Plus tard, elle sera assimilée à l'étoile Polaire ou à Vénus.
    Comme la Lune, Vénus a le double aspect d'étoile du soir et d'étoile du matin. Étoile du matin, elle était considérée comme néfaste. Cette tradition se retrouve dans le judéo-christianisme : l'étoile du matin est souvent associée à Lucifer (du latin : lux fero, «Je porte la lumière »).

    A travers le monde, la déesse mère a été vénérée sous de multiples noms.

    En Egypte, on adorait la déesse mère sous le nom d’Isis. Elle était souvent noire et tenait son fils Horus sur les genoux. La Madone égyptienne ramenée des croisades par Louis IX était probablement une représentation de la déesse Isis. ( mais aussi Ishtar, Astarté.)

    Isis

    Les Phéniciens ont contribué à diffuser ce culte tout autour du bassin méditerranéen.

    On sait que les tribus celtes du pays gaulois adoraient Belen, dont la sœur et l'épouse était Belisama, la Vierge noire. Il est probable que la Vierge noire adorée à Chartres, des siècles avant la cathédrale chrétienne, était une représentation de Belisama.

    Il est évident que le judaïsme comme le christianisme ont cherché à effacer les traces du culte de la déesse mère. Les premiers chrétiens la transformeront en dieu mâle. Leurs successeurs en feront Astaroth, un des fidèles serviteurs de Satan.

    Religion essentiellement patriarcale, le christianisme avait tout  pour rebuter les peuples européens. Pour convertir les païens, l'Eglise devra introduire le culte de la Vierge Marie et tenter de l'harmoniser avec les traditions religieuses locales. Un exemple de cette harmonisation : la célébration de l'Assomption de Marie le 15 août est également le  jour d'une des principales célébrations de la déesse Diane. Au Moyen Age, Marie a fini par prendre d'autres traits des déesses mères et par se faire appeler couramment Reine des Cieux ou Etoile de la Mer.
    Pourtant, cette nouvelle Marie n'avait plus grand-chose de commun avec la Mère de Dieu des Évangiles.
    Elle était restée, en fait, une déesse mère à peine recouverte d'un mince vernis chrétien.

    L'Église allait donc essayer de promouvoir une vraie Marie, plus conforme à son idée de la femme : pure, immaculée, chaste et asexuée. Une Marie totalement dépourvue de son caractère féminin et de toute son ambivalence païenne. Trop parfaite pour être vraie, cette nouvelle Marie n'avait rien d'attrayant pour les fidèles. D'où la mise en place d'une seconde Marie, qui prendrait en charge les éléments obscurs et «  trop féminins » des anciens cultes païens. Ce sera Marie-Madeleine, qui représentera tout ce que la Mère de Dieu n'était pas et qui prendra souvent le visage des fameuses Madones noires.

    Les Vierges noires paraissent avoir été vénérées comme des symboles astronomiques et astrologiques de ces courants d'énergie souterrains que l'on nomme « telluriques».

    Les lieux où nos ancêtres adoraient les Vierges noires n'étaient pas choisis au hasard.

    Aux yeux des Celtes, la Terre était un organisme vivant,  la Grande Mère,  d'où procédait toute vie. Comme un corps, la Terre était nourrie par tout un réseau d'artères cachées sous sa surface.
    Le réseau terrestre était parcouru par une sorte d'énergie impalpable. Cette énergie et les courants qui la portaient avaient un nom : c'était la Wouivre, le « serpent ».

    Vierge noire

    Vierge noire de Montserrat en Espagne.  

    Les Celtes faisaient appel à l'existence de la Wouivre pour expliquer certains phénomènes naturels, comme les cours d'eau souterrains, les différences entre les couches géologiques ou les propriétés magnétiques de certaines eaux.
    Les points de rencontre de plusieurs de ces artères devenaient des lieux sacrés, reconnus comme « centres d'énergie ».
    Tous ces points de rencontre étaient signalés, quelle que soit leur importance, par un menhir ou une statue sacrée. Les Vierges noires marqueront les plus importants carrefours de la Wouivre.

    Les menhirs et les Madones noires étaient réputés pour leurs dons de guérison et de fécondité. Ils étaient censés se comporter comme des «condensateurs d'énergie » : ils attiraient, conservaient et amplifiaient en les concentrant les influences bénéfiques de la Terre et du cosmos. Ces lieux sacrés étaient ainsi l'objet de nombreux pèlerinages, des centaines et peut-être même des milliers d'années avant les prédicateurs chrétiens.
    Pour l'antique esprit païen de l'Europe, l'homme et la nature étaient indissociables. La séparation ne s'imposera que plus tard, avec le christianisme. Chez les peuples européens, l'homme faisait partie de la nature, au même titre que les animaux, les végétaux ou les minéraux.

    Il avait envers cette nature autant de droits que de devoirs.

    Dans leur forme première, les pèlerinages n'étaient pas vraiment d'essence religieuse et magique. Ils avaient surtout comme objectif d’assurer  un contact privilégié avec les énergies de la Terre. A chaque étape importante, il trouvait une Vierge noire.

    L'Église ne pouvait pas détruire les anciens lieux sacrés. Il fallait donc se les réapproprier en construisant des cathédrales sur les anciens lieux où se manifestait la Wouivre. Dans certains lieux de culte chrétiens, il est encore possible de voir l'antique menhir qui marquait le pèlerinage païen. Souvent, l'autel même sur lequel se déroule la messe est fait de l'ancienne pierre sacrée.

    Sources : http://www.dinosoria.com/noire_vierge.html

     


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    LA LEGENDE

       Marie-Jacobé et Marie-Salomé, les tantes maternelles de Jésus, avaient pris place dans la barque appartennant a l'un des hommes qui les accompagnaient. Ils etaient d'anciens disciples. Elles, deux des "Ste femmes", comme " eternellement on devait les appeler". Deja, les voiles impatientes tiraient vers le large quand on vit accourir, sur les rives laissées, une femme eperdue. Les 2 Marie reconnurent leur petite servante, la noire tres belle : Sara. Elles avaient cru lui cacher leur depart aventuré pour lui en eviter les reisques. Mais Sara entendait et voyait ce que ne voyaient ni n'entendaient les autres. Elle avait dejoué la charitable ruse. Seulement, elle ne s'etait pas assez depechée et voila que ses bien aimées maitresse la quittaient, de seconde en seconde un peu plus.

    Non ! Emues par son desespoir, Marie-Jacobé et Marie-Salomé, ayant denoué leurs echarpes, bleue et rose, les lancerent a l'eau, comme un tapis sur quoi Sara posa ses pieds confiants. ( on dit que la mer n'engloutit pas les miraculeux voilages. On dit que l'on peut encore les voir flotter. Si vous avez cette chance, hatez vous de formuler un voeu. Il se realisera. ) Quand la retardataire se fut glissée entre elles, si vive et si legere que le bateau n'eut pas le moindre flechissement, l'une des deux la morigena sans severité :

    - Pourquoi nous as-tu suivies ?

    - L'oiseau, quand il s'envole, laisse t il son ombre derriere lui ? Repondit Sara.

    Elle etait leur ombre depuis quelques 10 ans. A la suite de quelles circonstances ? Amenée en Judée sur un navire égyptien chargé d'esclaves et d'aromates ? On l'appelait parfois l'Egyptienne. Son teint de suie ( mais fut il vraiment si sombre ? ) evoquait d'autres origines. En tout cas une servante ne devait pas etre un luxe, pour les 2 femmes : Marie-Salomé, mere de 3 fils et Marie-Jacobé, elle aussi chargé de famille. Elles l'eussent volontiers assimilée a leur enfants, mais Sara, si elle les aima comme des meres, les servit comme des maitresses. Elle aida beaucoup aussi l'autre Marie, la femme du charpentier de nazareth...

    La barque filait allegrement. Si bien que l'on ne s'apercut pas tout de suite des premiers nuages. Mais tres vite, ceux ci s'epaissirent, se rejoignirent. Le ciel n'avait plus ete qu'une chappe etouffante traversé d'eclairs. L'orage eclata, diluvien, les voiles se dechirerent, la mer ecumeuse roulait ses gros rouleaux rageurs que mitraillait la pluie... Tout a coup, la tempete parut epuisée par sa colere, les vagues qui grondaient encore avaient du mal a reprendre souffle, c'etait vrai pourtant la tempete etait fini...

    Tous etait vivants mais sans rames, sans voiles , sans eaux potables et sans vivres, les hommes sentirent la peur mais les femmes resterent sereines guidé par leur foi, la suite leur donna raison. La barque s'ebrouait, la barque avancait, fermement entrainée par de long oiseaux eployés au dessus d'elle et que retenaient a ses bords d'invisibles fils. Les flamants roses filaient a la vitesse de l'eclair, effacant a la fois l'espace et le temps, ils arriverent sur les iles de camargue decoupés par les meandres du grand rhone.

    Les ste marie resterent la afin d'evangelisé la provence, Sara a leur cotés ....

        Differentes versions   

     

     

        Sara-la-Kali, Sara la noire, la brune Sara, serait pour les uns la servante de Marie Jacobé et Marie Salomé chassée de Jérusalem après la mort du Christ dans la barque sans voile ni rames qui échoua en Camargue, pour d'autres c'est une gitane provençale. Une chose est sure, elle était de couleur noire ou sombre. La version que retiennent les gitans est celle d'une jeune femme, une "gitane", campant avec sa tribu dans ce delta du Rhône. On raconte qu'avertie miraculeusement elle courut vers la mer et, s'étant dévêtue, elle étendit sur les vagues sa robe qui la porta vers les saintes. Baptisée de leurs mains, elle les conduisit au temple païen, le temple de "Ra", où affluaient les grands pèlerinages de sa race. Il est vraisemblable que Sara appartenait à une tribu celto-ligure, peuple nomade d'Europe centrale qui s'était installé dans cette région marécageuse de Camargue.

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    Ou encore : Sara campait avec sa tribu en pleine forêt de pins parasols, à l'endroit où s'élève aujourd'hui Aigues-Mortes. Avertie miraculeusement elle courut vers la mer et, s'étant dévêtue, elle étendit sur les vagues sa robe qui la porta vers les saintes. Baptisée de leurs mains, elle les conduisit au temple païen où affluaient les grands pèlerinages de sa race." Il est plus vraisemblable que Sara appartenait à une tribu celto-ligure indigène, et fort probable que Marie Salomé et Marie Jacobé, restées pour évangéliser la région, aient transformé l'autel païen en oratoire chrétien.
     
    À leur mort, très vite un culte se répandit avant que la construction de l'église-forteresse au XIIè siècle ne le confirme. Au XIVè siècle, le pèlerinage est déjà très populaire, notamment lorsque la célébration des saintes est fixée en 1343 au 25 mai pour la première et au 22 octobre pour la seconde.
     
    Il prendra une tout autre ampleur après 1448, quand les fouilles entreprises par le roi René sous l'autel de l'église découvrent les reliques des saintes femmes. Elles furent mises dans des châsses richement ornées et transportées dans la chapelle haute. C'est lui aussi qui fit creuser la crypte où les gitans étaient autorisés à vénérer Sara, leur patronne. Depuis cette époque, chaque 24 mai après-midi est consacré à la descente des reliques, lors d'une cérémonie chantée.

    Le pelerinage des gitans

     

      

     

             


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  • Rien dans la decoration de ce monument ne laisse apparaître une quelconque appartenance à un ordre monastique militaire, hormis le fait que l'exterieur de la batisse soit octogonal. L'enigme réside sous la peinture assez récente d'ailleurs d'une croix pattée rouge. Sous cet unique symbole, nous pouvons observer une statue de st Antoine de Padou ( patron des objets perdus ) qui descend le christ de sa croix. Ceci est en soi plus surprenant...

    On ne trouve nulle part ailleur ce detail trés significatif. Le coup du Christ ne tombe pas, mais de plus, il a les yeux mi-clos et les muscles des paupieres fonctionnent encore ! Ce qui semble vouloir indiquer que Jésus Christ etait encore en vie apres sa crucifixion ! Retrouver une telle iconographie dans une eglise catholique est plus que troublant. A l'instar des cathares, les templiers furent accusés de ne pas croire en la mort du Christ sur la croix ' voilà pourquoi certains auraient craché sur la croix, symbole de mensonge et manipulation ). Non pour la raison que celui-ci n'avait jamais été incarné dans la chair comme le pensaient les Parfaits Cathares, mais bien pour la survivance à ses blessures.

    Diverses raisons raisons ont été données, l'éponge tendue au bout d'une perche pour l'hydrater qui n'aurait pas contenue de l'eau salé comme d'habitude, mais un vinaigre de vin, à la suite de quoi il se serait evanoui ! Cela figure dans les evangiles canonniques. Inconscient, le Christ n'aurait ressenti aucune douleur somatique pour le coup de lance porté a son flanc, ce qui aurait fait penser aux representants de l'autorité romaine et du Sanhédrin qu'il etait deja mort.

    Ainsi, pour succomber, il n'aurait pas eu besoin d'être etouffé par le poids de son corps, aprés avoir eu les jambes cassées. La nuit tombée, il fallait faire vite car le shabbat était sacré et les familles des trois juifs crucifiés ( Jésus et les 2 voleurs ) devaient encore les porter dans leur tombeau respectif. Les proches de Jésus vont le cacher discretement dans le tombeau de joseph d'Arimathie génereusement prêté pour 3 jours.

    L'eglise de Campagne sur Aude nous met elle sur la voie d'un secret religieux qu'auraient détenue les Templiers ?

    En effet si le Christ n'etait pas mort sur la croix, on peut alors comprendre facilement que les detenteurs de cette information seraient devenus tres vite de redoutables ennemis pour les autorités pontificales....

     
     

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